logo_p__tite_chimere_isole_copie.jpgMaison des associations - Cité Salvador Allende 12, rue Colbert LORIENT

02 97 64 38 65 - la.chimere@wanadoo.fr

TARIFS : 13€ plein tarif - 8€ tarif réduit

sauf pour l'apéro poésie et la lecture « oeil effaré, plume et les dents » : entrée libre.

Apéro poésie

Le lundi 8 mars à partir de 18h30 pour ouvrir ensemble le 12ème printemps des poètes et fêter la journée de la femme, le plateau de la p’tite chimère est ouvert à tous, un temps convivial pour dire, écrire, lire de la poésie.

A mes yeux des embruns à ton ventre l'océan

de Michel Ecoffard

Samedi 13 à 20h30

Mise en espace et en voix Michel ECOFFARD et Paule LE DIORE Recueil de poèmes oscillant sans cesse entre la nostalgie et le devenir, la désespérance et le grand élan de vie

Le Cabaret de la dernière chance

par Jean RIO accompagné à l'accordéon par Armel Veilhan

jeudi 18 mars à 20h30

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Mêlant les hautes sphères et les bas fonds de la poésie, entre les mots et l'accordéon, les deux compères imaginent un cabaret où le sublime et le profane se côtoient, se mêlent, se répondent. Ils nous embarquent dans un radeau de fortune où le quête d'humanité, l'âme, la « révolte intacte » tentent de sauver un monde en « liquidation ». Sur la scène, un moment de vie se crée par la grâce des mots qui provoquent, déchirent, enivrent, construisent autant qu'ils détruisent chaque tentative de se soustraire à la pesanteur du monde. Au bout du quai (nous sommes toujours près d'un port, d'un départ ou d'une arrivée)

Quai de la vie

par Aline Dhavré accompagnée au piano par Antoine Quinet

Samedi 20 mars à 20h30 dimanche 21 mars à 16h00

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« Aline Dhavré, personnage hors série, glisse comme un cygne sur l'eau des songes. Des mélodies tissées, entêtantes. Ses chansons : du lin. » Julos Beaucarne. Le printemps des poètes 2010 se dit en « couleurs femmes », alors écoutons une femme, poète et chanteuse. Dans l'ordre ou le désordre, qu'importe pour cet être de lunaison dont le chant a forcément quelque chose de nocturne, comme sa voix ou son regard de nuit. Une voix sourde, pathétique pourtant sans... pathos. Toute en pudeur et nuances, une voix qui caresse, une voix murmure pour porter ce cri venu de l'intérieur, ce cri qui est le nôtre, celui d'hommes ou de femmes qui veulent vivre debout dans la lueur vacillante d'une utopie à toujours réinventer. Francis CHENOT.

oeil effaré, plume et les dents

Mardi 23 mars à 18h30

poèmes de Patrick Argenté lecture de l'auteur accompagné à l'accordéon diatonique par Ronan Robert

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Qu’est-ce qui vous pousse à ouvrir un livre de poésie ? La curiosité, sans doute, et l’attente d’un plaisir, voire d’une jouissance. Celle-ci, ne s’épanouit ni dans le convenu ni dans la distraction, et elle vous contraint, lecteur, à être actif et à découvrir, dans le texte, comme en creux, votre désir. Le sens ne vient pas de ce que le poème veut dire, mais de ce qu’il dit. Il est dans la musique même des mots, dans l’agencement des rythmes, dans un donné à entendre tout autant qu’à voir, peut-être même à sentir ou à toucher. Ce qui crée le contact charnel dans la poésie de Patrick Argenté, c’est le mélange peut-être paradoxal de jubilation et d’effroi.

Andrée CHEDID

poèmes mis en voix, en espace et en dessins par Paule LE DIORE

samedi 27 mars à 20h30 dimanche 28 mars à 16h00